lundi 28 septembre 2015

Mariève Tremblay vous présente l'histoire derrière l'homme Gérard Baril


Entrons dans l'univers merveilleux de :
 
GÉRARD BARIL
 
 
 

Laissez-moi vous présenter un homme que j'ai eu la chance de rencontrer grâce à mon amitié avec sa soeur, Louisette, une amie que je porte dans mon coeur.
Elle m'a parlé du livre de son frère et j'ai eu le privilère de le rencontrer lors d'une visite fort agréable à Québec. C'était comme si nous nous connaissions depuis des années.
Un homme qui a le feu sacré en lui, un homme d'honneur, un ami, un mari, un père, un homme investi également dans la société à plusieurs niveaux, c'est fascinant. Il a reçu plusieurs mentions de reconnaissances de divers organisations importantes comme :
- Union des producteurs agricoles
- Certificat du mérite horticole
- Certificat de reconnaissance comme bénévole à la bibliothèque de Saint-Méthode
- Récipiendaire de la médaille d'Argent de l'Ordre du mérite de la Fédération des commissions colaures du Québec pour services rendus à l'éducation à québec Wow!!!
- Certificat pour le titre de Monsieur Communication remis par l'école Carrefour Étudiant
- Mention spéciale du choix du jury du concours Mes plus beaux Poemes (Je peux vous dire que ces poèmes sont tout simplement sublimes).
 En lisant son livre, vous verrez à la fin, il a eu la brillante idée de mettre des photos qui nous font voyager au coeur même de sa vie. Des souvenirs fabuleux. C'est agréable de "voir" en images ce qu'on lit! J'ai adoré la manière qu'il a de rendre hommage aux gens, j'ai été charmée. Il a sa manière à lui unique et touchante d'écrire et de se raconter. Et en plus, c'est un coeur de poète! Comment ne pas aimer cet homme et son histoire? Impossible! Dans sa manière d'être, on voit clairement que c'est un homme remarquable. Il a en lui, le sceau de la douceur, de la politesse, de la bienséance, du respect et surtout de l'amour.
Homme de coeur, homme de la terre... 

« L’agriculture est devenue ma nourrice, ma vie et ma maitresse. »
 
Il a une histoire qui mérite d'être connue! À 18 ans, il a sa première terre et il devient très jeune un "agriculteur propirétaire et adulte" comme il le dit si bien. Il dit ne pas avoir eu d'adolescence, mais être passé de l'enfance à l'âge adulte tout naturellement. Il me fait penser à un sage. Oui, il a une telle sagesse en lui! Quand il parle de la terre, qu'il la tient dans ses mains et qu'il fait "un" avec toutes les forces de la nature, j'ai trouvé cela prodigieux.
 
Étant une éternelle romantique, j'adore quand il raconte son histoire d'amour avec sa belle Lisette. Je suis tombée sous le charme encore une fois de cette phrase qu'il dit en pensant à l'amour de sa vie :
 
 " J'étais comme un astronaute qui vient de découvrir une nouvelle étoile dans le ciel de sa vie. "
 
Gérard, tu es un être merveilleux, divin et unique. Merci de nous avoir fait ce beau cadeau tout en mot, en photos, en souvenirs. Merci d'avoir écrit ce beau livre.  

J'ai adoré le proverbe de Doris Lussier qui dit :
" Que les religions divisent, seul l'amour pardonne et unit."
C'est exactement ce que je pense.
 
Il raconte souvent que dans la maison de son enfance, tout le monde venait jaser de tout et de rien. On sent la chaleur d'une maison très conviviale et quand Gérard et sa femme ont fondés maison, ils ont ainsi continués cette belle coutume remplie d'amour et de joie. Ils ont toujours laissés leur porte grande ouverte et ils ont aidés tant de personnes tout en jasant, face à face, devant un bon café. Cœur à cœur.
 
Et ensuite, il parle de l'arrivée de la technologie...Aujourd'hui c'est complètement fou! On a tous nos cellulaires en mains, Ipad, Iphone...et il a dit à ce propos, une phrase qui m'a particulièrement touchée:
" Pour la communication, rien de mieux que deux êtres humains devant une tasse à café. "
J'ai trouvé cette phrase significative et d'une importance capitale. Car on ne prend plus le temps, comme avant, d'avoir un contact humain avec les gens qui nous entoure. C'est la société qui nous entoure qui roule et nous...on tourne...on prend de moins en moins le temps de se rencontrer face à face devant une bonne tasse de café bien chaude et réconfortante. Merci de nous ramener aux vraies valeurs de la vie mon cher Gérard.
Comme ça me rappelle des souvenirs quand tu parles de la vente et la ceuillète des bleuets! Étant moi-même un petit bleuet du Lac Saint-Jean, toute ma famille l'a fait et encore aujourd'hui. Et je me rappelle mon enfance, où après maman et mes tantes cuisinaient et l'odeur envoûtante dansait dans la maison.
Je vous partage deux petites phrases :
" Il n’avaient rien, ils avaient tout, ils avaient l’amour et l’espoir de jours meilleurs. "

" Faire tout avec presque rien !!! "
C'est mon père tout craché assurément…j’ai un million d'images  qui m'apparaissent en tête...  
Lire ce livre, c'est faire un retour dans le temps!

Quand il raconte qu'il se faisait bercer ou border le soir avant d’aller dormir par ces parents, j’avais les larmes aux yeux...Car je me rappelle que c’était pareil dans la maison de mon enfance aussi. Toutes les fois où je me suis endormie sur mes parents pendant que je me faisais bercer.
 J'aurais tant aimer vivre à cette époque. Je les vois encore comme dans « Les filles de Caleb » quand ils font les foins, la récolte de grains moissonnés à l’automne, labourer les champs, je l'imagine aller au magasin général vendre son fromage et acheter de la farine, du sel….
«  À tous les matins de l’été, on embarquait les canisses de lait dans une voiture tirée par un cheval jusqu’à à la fromagerie… »
«  À chaque matin, il fallait nourrir les animaux, ramasser les œufs, atteler les chevaux pour différents travaux, la tonte de moutons »
Gérard, tu es tel un philosophe de la vie, tu apportes de si beaux messages.
J’ai bien aimé ce passage, car même aujourd’hui, ma mère et mon père sont ainsi. «  C’est avec des remèdes maison que les mères soignaient. Des remèdes à base de gingembre, moutarde, de feuille de tabac, camphre, menthe, gomme de sapin… »
Le temps où ils exposaient les morts dans les maisons pendant trois jours….Ho my god !!!
Quand il raconte comment sa famille faisait du savon…wow !!! Et j’ai bien rit en lisant d’où venait l’expression : 
" un vent à écorner les bœufs " 
C’est drôle, car La bénédiction du jour de l’An…nous avons aussi cette tradition dans ma famille du côté des Archambault et des Tremblay. Ça m’a toujours émue ce moment.

Avec sa belle Lisette, l'amour de sa vie



Avec Louisette, son mari et Gérard
 
 
Ma Loulou, moi et son grand frère, Gérard
De merveilleux souvenirs!

 
Merci du fond du coeur d'avoir partagé ce moment avec moi, ce fut un moment bénit des Dieux.
 
Ce fut un honneur de te rencontrer, j'espère te revoir également.
 
Alors cher lecteur, chère lectrice, lisez ce livre qui nous ramène dans un temps que j'adore.
 
Mariève
 
 

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