vendredi 19 février 2016

Mariève Tremblay et Josélito Michaud " Dans mes yeux à moi " À lire!!!

 
 
 
 
 
Amis, amies, famille, cousins, cousines, collègues...lisez ce récit attachant de Josélito Michaud!
ABSOLUEMENT
Un pur délice. Dès les premieres pages, j'étais déjà très émue et envoutée par la passion des mots si bien choisis. Le mot Éloge littéraire va en tout bien tout honneur à ce livre et à cet homme.
Ce petit garçon de la pochette...regardez le bien...
Moi entouca, ça vient me chercher simplement en regardant la pochette. C'est pourquoi j'ai voulu ce livre là de Josélito, il a attiré mon attention! La pochette m'a envoutée! Ce petit garçonnet est tellement attachant et dire que dès son très jeune âge, il est confronté à des situations pénibles. Il doit apprendre très jeune à faire face à toutes formes de tragédies douloureuses de la vie. L'abandon, l'indifférence, la pauvreté, la méchanceté, le déchirement, la violence, la peur...
Laissé à l'orpholinat dès son jeune âge, il va ensuite de familles d'acceuil en familles d'acceuil, où dans certaines, malheureusement, il y subit de mauvais traitements. Je n'arrive pas à croire et à comprendre comment on peut vouloir acceuillir un enfant d'où le titre : "FAMILLE D'ACCEUIL" et lui faire autant de mal gratuitement... C'est le genre d'injustice qui arrive à me mettre tout à fait hors de moi. Accueillir un être humain qui est seul dans la vie, qui a besoin de nos soins, de notre amour, de notre écoute, de nos conseils et de notre enseignement en tant que bonne personne fiable....c'est pourtant si valeureux comme événement dans mes yeux à moi :) Mais à travers mes yeux à moi justement, tout comme ce petit garçon devenu grand, la réalité est bien différente parfois et cruelle. On m'a souvent dit que j'avais une manière bien à moi de penser et au fil du temps j'ai pu le constater, et évidemment, mon regard sur la vie, les choses, les gens a toujours été différent.
Ce petit bonhomme avec sa grosse valise et son ours en peluche, Baby blue, avec sa petite casquette et son joli minoi, sa démarche un peu triste qui sillionne une route de terre....juste en voyant cette image, j'aurais tout donné pour l'adopter et je l'aurais tant aimé. Je l'aurais enveloppé de mon amour pour toujours. N'ayant jamais pu avoir d'avoir moi-même, c'est le genre de rêve que j'ai toujours eu, adopter un petit être aussi merveilleux que celui dans ce récit. Adopter un " Olivier" doit être un bea cadeau de la vie et j'ai du mal à concevoir qu'il peut en être autrement.
Entrons dans l'univers d'Olivier...

En 1975, dans un petit village de Sainte-Hélène-de-Mancebourg en Abitibi...Olivier arrive dans une nouvelle Famille d'accueil bien aggripé à son Baby blue. L'attachement qu'il porte à son ourson est pratiquement déchirant comme le prouve ces mots :
" J'ai tant mordillé cette minuscule peluche que son tissu s'effilochait et ses couleurs s'étaient défrâcihies. son état m'important peu, je l'aimais. Au fil du temps, elle avait été maintes fois rafistoléee avec des moyens de fortune. Elle ne me quittais jamais`elle était tout pour moi. C'est ma vraie mère qui me l'Avait oufferte en me déposant à la crèche, alors que je n'avais que quelques jours. je n'allais certainement pas me départir de ce seul vestige de ma filiation maternelle"

Quelle beauté ces mots qu'il emploi, ils m'envoûtent totalement. Ce petit coeur sur deux pattes fait un jour un pacte avec Dieu, il lui dit qu'il sera obéissant pour toujours suivant sa volonté en échange de quoi, il retrouverait sa vraie mère.
Sa rencontre avec Monsieur Surprenant et sa famille est restée tatouée dans mon esprit. Quel homme ignoble, quel être abobinable. Le pire, c'est que des hommes comme ça, il y en a beaucoup trop, des êtres humains comme ça, il y en a beaucoup trop, oui, malheureusement, le mal existe en certains êtres.
Les Surprenant, Les Rivard...il tomba sur de bonnes et de mauvaises personnes, il sauta de train en train pour le prochain voyage espérant trouvé mieux, avec comme bagage son effroi qui grandissait suite à de trop grands coups du destin qu'aucun enfant sur terre ne devrait vivre.

Voici une pensée qui m'a émue:
« Néanmoins je serrais les points prêt pour les combats qui allaient jalonner dorénavant ma vie et en marquer le tracé
Il restait toujours avec une peur au ventre depuis ce qui s’est passé chez les Surprenant. La foi est ensuite venue à son secours. Mais quel sagesse pour un si jeune enfant. Il se réfugiait dans sa boîte à caresse que j'ai trouvé adorable et j'ai même commencé à m'en créer une à moi.
Je le vois encore assis dans les escaliers.Vivre un deuil c'est une des choses les plus difficiles au monde. La mort, la voleuse de lendemain comme il le dit si bien.
Sa vie est une panoplie de fatalités, il dit avoir supplié Dieu de venir le chercher, cette phrase m'a renversée et j'ai même eu droit à des larmes, car certains passages vont puiser des émotions en moi. Tout comme lui, moi, je me suis souvent terrée au fond de mon être. Il se jugeait sévèrement, encore un point commun avec moi. Nous pouvons être si dur envers nous-mêmes parfois...
C’est beau quand il parle des années 70. Il parle de plein de choses dont je me rappelle très bien, ces années là moi aussi j'écoutais la télé et je me rappelle un jour avoir demandé à ma mère si c'était de petits nains ou des lutins qui jouaient dans la télé ou s'ils se cachaient derrière la télé! Trop mignon!
J'adore la relation qu'Olivier développe avec sa Grand-mère. C'est unique, pur et si beau la relation entre eux, c’est si fort. Quand ils travaillent la terre ensemble c’est très symbolique comme moment.
Il dit : "Ma suspicion pour les bonnes choses étaient sans bornes, car je savais au fond de moi que celles-ci devaient prendre fin un jour malgré ça je me persuadait plutôt de me laisser bercer par cet amour et apprécier cette nouvelle vie."
Je trouve extraordinaire la manière de Josélito, de décrire les événements, les gens, les situations, les émotions...Ça me touche profondément. Il dit être très conscient de ces petits moments de bonheur, c'est tout de même majestueux de savoir mordre à fond dans les moments de bonheur, quand la vie ne nous a pas épargnée dans la peine, l'abandon et la douleur. C'est remarquable.
Il éprouvait le besoin viscérale de s’enfuir dans l’imaginaire. J’ai l’impression que c’est moi qui a écrit ces lignes, ça me colle à la peau, et vous comprendrez quand vous lirez mon histoire qui sortira sous peu. Il dit que l'imagination lui procurait une certaine alcalmie " ce qui m’evitait les frayeurs nocturnes et le désespoires" wow...c’est ce que j’ai vécu également.
LE passage qu'il parle d'odeur dans la maison, m'a rappelé de merveilleux souvenirs. "Ça sentait bon quand grand-mère mijotait de bons petits plats rassurants" J'arrive à sentir le parfum de certains plats de maman aussi et de grand maman…C'est vrai que c'est réconfortant un tel souvenir, une telle odeur.

Je vois la pluie d'une autre manière depuis que j'ai lu un passage de ce livre. Sa grand-mère adorait la pluie, elle disait que c'était un cadeau divin qui arrivait pour nettoyer et purifier la terre, les êtres, les choses...Elle profitait de chaque minute, elle ne laissait absoluement rien entraver son bonheur. Nous devrions tous faire cela, jour après jour.

La foi vient à mon secours! Toujours! Tout comme Olivier. Ne jamais perdre espoir.

Cher Josélito, tu es un homme admirable pour tout ce que tu es, tout ce qui t'a porté là où tu es en ce moment. Tout ce qui a fait en sorte que tu es comme tu es, est tout à ton honneur. Ton chemin n'a pas été synonyme de facilité, mais tout le contraire. Je salut ton courage et ta force à travers tout ce vécu.

J'ai beaucoup aimé ta manière d'écrire, les mots que tu choisis, l'intensité que tu apportes au sujet, le parfum des mots.
Beaucoup d'intensité...je me rappelle quand tu dis : "14 heures de grandes noiceur" My god, on peut bien commencer à avoir peur du noir en entendant cette phrase diaboloqie en étant enfant, je ne peux pas croire qu'on puisse dire cela à un enfant pour le terroriser. Ce petit Olivier devient méfiant et il a cet instint de survie qui le suit comme son ombre. Quelle tristesse....Il arrive à feindre le solmmeil quand il sent une tension, comme d'autres hantent quand ça va pas bien...
Il est pris au piège….le petit qui va se cacher sous l’escalier comme Harry Potter! J'ai du mal à comprendre comment on peut faire du mal à un enfant, de surcroît, un enfant adopté. La scène où il se cache sous l’escalier, m’a marquée, tout comme ce Réveillon de noël qui a encore pour Olivier, une odeur de mauvais souvenir.
Je me rappelle très bien Janette Bertrand que j'écoutais avec ma mère bien au chand dans le salon. Moi aussi je rêvais d’aller un jour à ce souper! Je trouvais cela fascinant. Je me rappelle l'amour avec un grand A, une émission avec Ginette Renaus qui m’avait beaucoup marquée, je m'en rappelle encore aujourd'hui même après toutes ces années.
Ce petit Olivier....qui baigne trop souvent dans une force destructive. Mais quelle résilience!!! La résilience lui rappelle comment l'être humain agit devant l’aderversité.
 
 
Olivier est un enfant fictif, mais l'histoire ressemble tout de même beaucoup à la vie de Josélito Michaud.
L’auteur a dit ceci: "Ce n’est pas vraiment une autobiographie, mais ce n’est pas une oeuvre de fiction pure non plus. C’est un récit. Ce récit à mi-chemin de la confession et de la fiction «est librement inspiré de ma vie, et aussi d’histoires d’enfants que j’ai croisés en chemin dans différents foyers d’accueil"
Olivier a connu des familles d’accueil cruelles et méchantes dont il rêvait de s’enfuir, et d’autres aimantes et généreuses d’où il ne voulait pas partir. Cet enfant effrayé et en manque d’amour apprend très vite à se replier sur lui-même et à se faire secret pour se défendre.

Il développe très vite une grande piété, un mysticisme romantique, dans lesquels il trouvera refuge et réconfort. Surtout, il est animé par des peurs, des angoisses atroces, qui le torturent et le paralysent.
Et là, l’auteur n’est pas loin. «N’importe quel auteur est obligé de puiser à l’intérieur de lui-même, sinon ça sonne faux», explique-t-il.
"Tu ne peux pas être étranger à des émotions comme celles-là et les décrire exactement. Oui, j’ai connu la peur, j’ai connu plusieurs des émotions qu’Olivier a connues: la peur de déplaire, le besoin d’être aimé, un intense sentiment de culpabilité, au sujet de tout ce qui va mal..."
 
Il y a pourtant très peu d’amertume et encore moins d’animosité dans ce récit de la vie d’un enfant misérable. "Ce n’est pas de règlements de compte. Je ne voulais faire de la peine à personne."
Pourquoi avoir écrit ce livre, alors? «Il est temps qu’on se mette dans la tête des enfants pour savoir ce qu’ils ressentent devant les événements. Mon but premier, c’était de dire : faites attention à ce que vous dites aux enfants. Ils comprennent bien plus de choses qu’on ne le pense.»
"Un enfant, c’est vulnérable. Tout a un impact pour un enfant. Un enfant, c’est une éponge." Josélito n’aime pas parler de son enfant intérieur, mais peut-être qu’il lui devait ce livre, pour exorciser certaines de ses frayeurs.
"Je n’aime pas dire: mon enfant intérieur, mais c’est de cela qu’il s’agit quand même. J’ai un compte à régler avec moi. J’ai besoin d’aller rassurer et réconforter cet enfant-là."
Je conseille à tous et chacun de lire cette histoire, ce récit.
C'est empoignant, le message livré est sublime, cela mène à une grande rélexion intérieure, car on se rend compte que malheureusement, le mal existe en certaines personnes comme je l'ai mentionné plus haut. On doit donc bien s'entourer, faire le bien du mieux qu'on peut, répandre notre amour pour tous ceux qui ne peuvent ou ne savent le faire. Combattre le mal par le bien et l'amour, c'est la seule arme que je connaisse contre tout. Il y a de la douleur, mais aussi tant d'amour et c'est à cet amour que l'on doit s'accrocher de jour en jour.


Merci Josélito Michaud d'avoir croisé mon chemin,
cela a été un honneur et un plaisir de te rencontrer.
Tu m'as bien fait rire, et avoir ton livre en cadeau, c'est un trésor de richesses intérieures, c'est ce qui me touche, l'histoire des gens. En ces histoires, j'y vois toujours la foi sous toutes ces formes. Nous sommes des battants!
À bientôt j'espère et merci d'être qui tu es!
Mariève
 


vendredi 12 février 2016

Mariève Tremblay vous parle de Samuel Larochelle

 


 
 


En mettant la main sur ce livre, j'ai immédiatement eu un refrain qui bourdonnait sans cesse entre mes deux oreilles et ça me faisait bien rire à chaque fois:

À cause des Garçons...la la la la la la

Je savais que c'était sans doute une chanson que j'avais déjà entendue, alors cette semaine je me suis dit: " bon d'où vient cet air que j'ai en tête?" J'ai donc cherché et trouvé! C'est bien une chanson qui existe à mon grand soulagement :) Duo féminin français formé de Laurence Heller et d'Hélène Bérard. En 1987, elles sortent leur premier 45 tours, composé et produit par Alain Chamfort. Le titre: À caus' des garçons est un succès immédiat. Et je me rappelle qu'elle jouait en boucle à la télévision et à la radio, même dans les boîtes de nuit des années plus tard, elle repassait remixée! Et j'ai bien ri quand j'ai regardé le vidéo. J'ai vite compris d'où venait cet air que j'avais en tête!

À vous de rire maintenant:



À cause' des garçons
On mets des bas nylon
On se crêpe le chignon
À cause' des garçons
Et du Qu'en dira t' on
On pleure sur tous les tons
À cause' des garçons
On s'allume pour de bon
À cause' des garçons
À cause' des garçons
Bon! Revenons aux choses sérieuses quoique Samuel a le don de faire rire les mots!
Samuel, ta plume est admirable, ta manière d'écrire et de t'exprimer face à certains sujets et certaines situations est talentueuse et habile. Ton talent a fait naître Émile, un personnage très d'actualité, très dynamique, risible, charismatique, chaleureux et attachant. Je me sentais proche d' Émile, de la Mamma, Lilli et Clara. Oui, on s'attache à son histoire rapidement, à l'absence du père qui laisse un grand vide dans sa vie. Ce vide qui le mène sur des sentiers intérieurs très profonds, sur des eaux tumultueuses et sur des questionnements existentiels. Il semble être si révolu et triste parfois, mais il apprend beaucoup dans ce livre et il commence à accepter de plus en plus qui il est vraiment. Il a beaucoup de potentiel, mais il ne le sait pas encore. Il est cependant en train de le découvrir et je crois qu'il va voir à quel point il a du talent et à quel point il a tout en lui pour s'épanouir et réussir.
Je me suis attachée également à sa quête intérieure, car il est à la recherche de tellement de choses dont la quête la plus important, celle de se trouver lui-même. Il recherche tant de réponses dans tous les niveaux de sa vie. Tout comme bien des gens d'ailleurs. On le voit cheminer tout au long du livre et j'ai bien hâte de lire la suite! Il y aura un Tome 2 n'est-ce pas? Dis-moi oui svp! :)
Émile tu sembles parfois si hystérique que tu me faisais bouffer de rire, et tes fameux scénarios délirants dans ta tête sont parfois si catastrophiques que tu ne veut qu'une chose, partir le plus loin possible en courant!

C'est un personnage très cru parfois, il n'a pas la langue dans sa poche et il semble avoir tout un caractère, mais une fois que tu l'as dans ta vie, tu ne peux plus t'en passer. On devrait tout avoir un "Émile" dans nos vies. Il est très honnête, prompt, passionné, alambiqué, caractériel, séduisant et ne veut qu'être aimer!
Samuel décrit la mélancolie d'Émile avec talent, quand il est en crise et déprimé après maintes et maintes déceptions amoureuses ou professionnelles.
Je dois vous raconter "mon passage" préféré, celui ou Émile reçoit une plante en cadeau qui supposément, va le faire avancer et lui apporter l'amour s'il en prend soin, comme de son jardin intérieur. Trop bon et trop hilarant. C'est moi tout craché ça :)
Petite histoire de l'horticulteur de l'amour en 14 jours
Ok je pourrais peut-être te parler un peu...
Eille, la Chlorophylle où est mon prince charmant?
Faudrait quand-même pas t'imaginer que je vais continuer à t'arroser, sans rien obtenir en retour.
Je décrète un lock-out. T'auras pu une seule goutte d'eau jusqu'à ce que tu retrouves un minimum de raison.
Ha! Tu fais moins ta smatte, maintenant que tu sèches . Je le savais. Je vais t'avoir à l'usure.
Plante? Plannnnnnte?
Bon d'accord, je n'aurais pas dû t'imposer une grève de la soiffe.
Hé! Je te demande pardon.
Je pense que je viens de commettre un meurtre...
Ça ressemble à quoi des funérailles de plante?
Je ne rencontrerai jamais l'amour....
Haaaaaaaaaaaaaaaaa! Samuel, j'ai tellement ri quand j'ai lu ce passage, je suis allée le lire à mon chum tout de suite, car il sait très bien que je n'ai pas du tout le pouce vert :)

Bref! Tu m'as bien fait rire, ha oui, Émile m'a bien fait rire! L'histoire d'Émile me donnait l'impression de parler avec un ami, oui, car j'ai des amis gais et je suis allée pendant un été complet dans le quartier gai sur la rue St-Jean, et on dansait toute la nuit! C'est un beau souvenir.
C'est touchant quand il se rend compte qu'il doit passer à travers les étapes du deuil, dans la vie, on a tous plusieurs deuils à faire à des biens des niveaux. J'ai hâte de lire la suite, le Tome 2 s'il y a! Il y a?
J'ai envie de savoir dans quelle histoire rocambolesque Émile s'est mit encore une fois après avoir passer des heures sur ToietMoi.com, sur quels gars il est tombé après le baveux, le policier, Steve, Francis, le Français, Éric-le-presque-quarantenaire, Regard de braise, Mister théâtre, le libanais freak, L'Improvisateur, le bout de chou de la station Monk, Juan Pablo...
J'ai hâte de voir si le photographe va reprendre sa carrière et demander des excuses suite à son dernier shooting photo un peu Rock 'n' roll n'est-ce pas Émile? :)
Voici une belle photo que j'ai travaillé pour faire honneur au talent d'Émile!
J'espère qu'il aimera! :)
Moi, avec Marc Fisher et Samuel Larochelle!

Félicitation Samuel! Tu as beaucoup de talent.


Voici le blog de Samuel Larochelle:


À cause des garçons publié par la maison d'édition Druide.
 

 


jeudi 4 février 2016

Mariève Tremblay vous parle de Janic Losier et de son dernier livre

 
 

L'Inde, mon intuition et Moi
de Janic Losier
Celle qui ne fait que suivre la route tracée vers son étoile chanceuse nous emporte avec elle aujourd'hui sous la chaleur de l'Inde avec son deuxième roman.
Cette femme au visage rieur, aux talents assurés et multiples. Nous aimons bien la suivre où qu'elle aille dans ces belles transformations intérieures, voyages spirituels, ces prises de conscience, puisque c'est toujours aussi fascinant de fois en fois.

Cela me transportent toujours autant.
Elle nous livre une aventure sensationnelle, une tranche de vie tout à fait incroyable, elle nous démontre certaines étapes à franchir dans la vie avec soi-même. Ce parcours initiatique est d'une richesse inestimable.
Chère Janic, en commençant, je tenais à t'offrir toutes mes féliciations pour ton 2e roman à la couleur du " Dauphin Blanc" Quelle belle réalisation. Tu ne méritais pas moins chère amie.
Voici une phrase qui te colle très bien à la peau selon moi : Lorsque tu veux vraiment une chose, tout l'univers conspire à te permettre de réaliser ton rêve!
Cette phrase, a sans doute été écrite pour toi :)
Ce livre dont tu m'as tant parlé est enfin entre mes mains! Youpidou :) C'est tout simplement un bijou unique. Merci de garnir nos vies de toute ces beautés et ces énergies. Toujours aussi profonde, rafraîssissante en étant totalement boulversante par moment. Tu nous fais prendre conscience à ta manière de certaines facettes de nos univers intérieurs afin de nous pousser à puiser profondément en nous. Tu nous fais voir certaines choses que l'on refuse parfois de voir.
Oui, il y a des moments, des stuations, des gens, des aléas de la vie qui dépassent totalement notre compréhenion!
Ashram, voyage au coeur de soi-même, les miracles de Sai Baba, la montagne sacrée, la ferme Solitude, la foi, le surpassement, le nouveau monde, OUIMAIS, SIJOSAIS!!!! L'arbre à souhait et la prière de protection c'est très touchant. On pouvait sentir l'énergie vitale se dégager à travers tes mots.
"Avant Tout nouveau départ, il est normal de traverser des zones d'inconfort!"
J'ai trouvé une certaine vérité me concernant dans cette phrase.
Ta rencontre avec Kamala, ça m'a permis de me connecter à ma propre vie et de voir que dans la vie, il y a des gens qui sont là pour nous faire comprendre l'essentiel. Parfois, ça ne tourne pas toujours dans le sens que l'on avait envisagé, mais ça va dans le sens QUI DOIT, ça va dans le sens ou le vent de la vie doit aller, pour nous, pour le mieux. Pas toujours facile à gérer, mais toi, avec ta force intérieure tu surpasses tes émotions pour comprendre au-delà de ce qui est....tu es fantastique.
"C'est drôle, j'ai l'impression que la vie m'envoie un test pour évaluer à quel point je suis déterminée "
Voilà...cette phrase veut dire beaucoup. En comprendre tout le sens n'est pas qu'une chose simple. Ho! Oui, la vie envoie des testes! À qui le dis-tu!!!
Ton chemin Janic, est étonnant, tu semble mené par une telle destinée, par une telle soiffe de vivre et de connaissances, tu es mené par une grande force et par une profonde inspiration que tous les éléments de la terre travaillent en harmonie pour toi, sur ta route, se manifestant de biens des manières. La Magie existe.
Tout comme toi, je déteste ressentir la pression! Je souriais souvent en te lisant et parfois je me mordais la lèvre en ressentant ton stresse vis-à-vis des moments intenses. Tout ce que tu as pu vivre là-bas...WOW Je te lève mon plus beau chapeau!
J'ai adoré ta phrase: "Connais-tu quelqu'un qui connait quelqu'un?"
J'ai bien rit en lisant ça....mon dieu que c'est vrai! Nous sommes reliés aux autres et c'est fascinant de voir à quel point. Un beau grand mystère de la vie.
Jonh Ruskin a dit : "La plus grande récompense de nos efforts n'est pas ce qu'ils nous rapportent, mais ce qu'ils nous permettent de devenir. " Je n'avais jamais entendu cette phrase et c'est divin! Quelle puissante vérité qui en découle.
Quand tu fais la prise de conscience concernant le travail, la ferme avec les chiens....Quand tu arrives à te dire que tout métier est nécessaire, unique et parfait dans le plan de la vie. L'importance est de se sentir à sa place, se sentir bien et S'ASSUMER. WOW!!!!!! J'adore ta manière d'en venir à une conclusion personnelle, ça me rejoint. Faire confiance, n'est pas sans difficultés. Mais voir plus loin que ce qui est devant nous, est reliée à une grande preuve de force intérieure, une grande intelligence spirituelle.
La vie nous fait parfois des cadeaux mal enveloppés...c'est un mystère...mais après, on comprend et apprécie ce même cadeau qui s'avère être au-delà de son importance première.
Janic, tu sais inspirer les gens. Quand tu parles de l'intuition j'adore!
" Il va de soi que je vis des situations sur ma route qui servent à me montrer à quoi ressemble les moments de dire OUI ou de répondre NON. L'intuition, ce n'est pas un langage que nous apprenons à l'école."
Aventurière, croyante, tu marches sur des routes remplies de trésors que tu découvre de plus en plus chaque jour. Ce qui fait de toi une jeune femme merveilleuse. L'à où tu vas, tu dois aller. Tu n'hésites pas à foncer, et à travers tout ça, tu n'hésites pas non plus à dire que est parfois la route est ardue et parsemé par le doute, mais tu dis toujours comme nous le savons bien, OUIMAIS, SIJOSAIS?
Quand un tel sentiment nous submerge, simplement de le dire, ça fait du bien et ça ouvre à quelque chose d'autres, un autre chemin s'ouvre à nous.
Tu as un don, de te donner à ta manière, tu as une intuition qui t'a toujours menée plus haut, alors continue toujours de l'écouter. Tu as ce don de croire en ta force, en cts rêves qui me fascine. La manière que tu as de passer au travers tout ce qui t'arrive en Inde est tout simplement majestueux tu sais. Tout le monde doit lire se livre pour goûter à ta vision et ton histoire. Tu te donne toujours corps et âme à tes projets et parfois tu fonce la tête baissé avec une gratitude envers la puissance que tu as en toi.
Chère Janic et tes demandes à l'univers....
La manière que tu as de demander à l'univers et le retour que tu mérites...ça me touche à chaque fois. Ces demandes que tu fais sont directement connectées avec le gars d'en haut, ou directement avec un contact dans la galaxie, avec cette force de l'univers qui t'apporte de manière vraiment incroyable ce dont tu as besoin et demande, et ce, sous forme de petits gestes de toutes sortes, un coup de téléphone, une rencontre surprenante de dernière minute, une annonce, une nouvelle.. Quelque chose qui arrive au moment précis où tu dois faire ta mission de vie, la dessiner tout comme toi tu prépare les toiles avec tes pinceaux et tes couleurs. À la gloire de Janic! Tout arrive dans le plan parfait de Dieu.
Celle qui se fait réveiller au chant du Coq, celle qui se trouve quelque part entre le temps et l'espace, celle qui se laisse guider jour après jour par la mélodie divine autour d'elle et en elle, celle qui a réussit à apprivoiser le silence...toi, chère Janic, tu es un être unique qui a une place au soleil en cette vie. Ton histoire est époustoufflante et je dis à plus de monde possible de te lire. Te lire nous aides à grandir, à comprendre. Tu es d'une grande inspiration.
Bonne chance pour la suite de tes voyages et fait rayonner ton être de tous tes rayons à travers tes expériences.
Comme tu le dis si bien Janic " Il y a souvent des passages obligés dans la vie! Cela ne nous parrait pas toujours juste certes, normal ou agréable, mais ça ne change en rien le fait que ce soit nécessaire pour notre cheminement de vie."
Je salut ton courage, ta force mentale et ta foi.
Je t'adore
à Bientôt
Mariève